Expo Espiritus de Invierno à Carsac-Aillac, vernissage le 19 septembre
Association Athéna - Agence culturelle départementale présentent :
Yannick CORMIER , photographe
Cette exposition programmée et installée à LA LIGNE BLEUE en Mars-Avril 2020 n’a pu être accessible au public en raison des décisions gouvernementales concernant les mesures de confinement.
Espiritus de Invierno est désormais visible à partir du 19 SEPTEMBRE ET DURANT TOUT LE MOIS d’OCTOBRE
Exposition : 19 Septembre - 31 Octobre 2020
Vernissage : Samedi 19 Septembre 15h-19h
Espace La Ligne Bleue à Carsac-Aillac
Ouvert : du Mardi au Samedi : 15h -18h30 - Scolaires sur Rendez-vous
Espiritus de Invierno est consacrée aux rites carnavalesques pratiqués dans la péninsule Ibérique.
« ...la corrélation entre les masques portés lors de ces rituels et les figurations anthropomorphiques du paléolithique supérieur sont saisissantes.
Dans la péninsule Ibérique (Espagne, Portugal, pays Basque) des figures archaïques et mystérieuses hantent régulièrement les rites carnavalesques…
Ce sont des masques parés de peaux d’animaux, de végétaux et de paille, entourés de cloches et d’os, souvent couronnés de cornes et de bois
« …ils étaient ou sont encore la figure des ancêtres et des esprits des morts, celle des esprits protecteurs ou malins »
Yannick Cormier est photographe. A travers une approche essentiellement anthropologique et sociale, il arpente les contrées plus ou moins lointaines pour saisir – avec justesse et sensibilité – les rites, les situations, l’Histoire et les histoires, qui constituent l’identité des communautés qu’il rencontre.
Au début des années 2000, à l’occasion d’une mission confiée par l’agence Wostok Press, Yannick Cormier découvre l’Inde, et sa vie en est changée pour toujours. Il s’y installe, fonde l’agence Trikaya Photos, conçoit le commissariat d’expositions, et réalise de nombreuses séries photographiques.
Avec une proximité et une empathie qui imprègnent son travail, Yannick Cormier porte régulièrement son regard et son objectif sur les communautés et traditions en voie d’extinction dans l’Inde moderne. Son oeuvre associe la rigueur, de la méthode et de la documentation, à une esthétique que l’on pourrait qualifier d’haptique ; une texture qui caractérise ses images et que l’on doit sans doute à la finesse de l’artiste et à sa proximité avec ses sujets. Contraint de quitter l’Inde en 2018, il poursuit aujourd’hui ses recherches sur les rites contemporains, en France et en Europe.
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