Article bénéficiant de l’apport photographique de Michèle Gaillard (photos marquées MG).

Le beau temps ensoleillé continue en ce début de mois juillet, pour la joie de tous. Et en particulier pour les participants au marché de Bouzic, toujours agréablement frais dans sa verdure au bord du Céou et de la Fontaine.
Le marché début à 19h mais peu après 18h, les premiers arrivants sont déjà là.

18h30. Le marché de Bouzic s’ébroue.

18h45. Certains bénévoles profitent des derniers moments avant la cloche pour faire leurs courses.

Les placiers du parking 2 sont déjà à l’oeuvre. Ils sont deux, fine équipe, David et Jean-Paul.

David se prépare aux arrivées en masse.

Jean-Paul profite des rares temps morts pour prendre quelques photos (Photo MG).

Le placement adéquat des véhicules doit se faire dès le départ.

Les gestes de placement doivent être clairs et précis. Un jeu d’enfant pour un colonel de l’armée de l’air britannique à la retraite.

Monsieur et Madame le Maire de Florimont-Gaumier et leurs petits-enfants (ils sont distraits par les facéties du colonel).

Gilbert et Gracieuse, quelque peu éclopée mais sur le bon chemin de la remise en forme, n’arrivent jamais tard (Photo MG).

Pendant ce temps-là, la distribution des tables, tréteaux et bancs bat son plein.

Une belle équipe d’Albion pour ce travail délicat mais demandant des muscles (photo MG).

19h30 : il y a du monde au marché, de l’ordre du demi-millier.

L’auge à braises. Élément essentiel du marché. Que serait-il sans les barbecues ?

Deux hommes de la braise : Claude et Jean. Pas toujours simple en période caniculaire, même dans la fraîcheur (relative) du vallon de la Fontaine (photo MG).

En plus de son aspect éminemment utilitaire, le barbecue génère des moments conviviaux.

La Franquie contrôle le bar.

Les bénévoles de la petite halle œuvrent sous l’ombre protectrice du Maire-Président.

Une partie des bénévoles-hôtes et -hôtesses de la petite halle (photo MG).

Michèle arrive et embrasse ardemment Yvette. C’est dans l’air du temps mais que va en penser Monsieur le Maire ? (Photo MG).

Je n’aurais pas cru ça d’elle ! Bon concentrons-nous sur ces assiettes inséparables. De mon temps, elles étaient en faïence, c’était autre chose.

Arrivée d’une jeune bachelière, bien heureuse d’être de retour à Bouzic.

Yvette et Andréa, près de 180 ans à deux.
Yvette : tu te rends compte qu’elle a voulu me rouler une pelle ?

Ambiance petitehallesque.

Les braises et le marché. Tom et Jerry. Laurel et Hardy. L’un ne va pas sans l’autre.

Discussions variées sous le drapeau du marché de Bouzic

Chacun vaque à ses occupations, selon son bon plaisir.

Du monde, varié et cosmopolite.

Y compris le barde bouzicois René, sa femme Yolande et leurs amis.

La grande halle, qui abritent les producteurs, est également en pleine activité.

Il y a file pour les frites bouzicoises, et dans la bonne humeur bien sûr.

Travail familiale et en équipe.

En voilà des fritures !

Tout cela sous la direction de Christian.

A 21h, les poulets rôtis ne sont plus nombreux.

Le Vin de Domme présenté par un duo contrasté, comme le Rosé et le Périgord Noir, tout deux excellents.

Mère et fille, boulangères au feu de bois avec les pains férocement traditionnels.

La viande de bœuf et d’agneau, fermiers, et les légumes en barquettes ont bon succès.

20h45. Ca se calme sous la petite halle.

Danièle en profite pour aller voir un chien qui a ses préférences.

Jean-Pierre renseigne avec maestria un couple primo-arrivant.

Par contre, au café, l’activité est importante : Denise et Julie s’apprêtent à fendre les flots de table pour proposer le breuvage noir, divin après un bon repas.

Julie (et Denise, cachée derrière une armoire à glaces) délivrent un café de bon aloi (photo MG).

C’est cela l’esquif "petite halle" !

A 21h, le monde au barbecue a décrut mais les braises sont toujours bien actives.

Il y a file par contre pour les sorbets.

C’est l’heure pour certaines de débaucher.

Et pour d’autres de commencer à se préoccuper de leur sustentation.

Après les grillades, le célèbre dessert hebdomadaire d’Yvette, cette fois des tartes au citron meringuées.

Un autre baiser d’enfer, c’est la soirée.
Yvette : dites donc vous deux !

Yvette : eh bien toi alors, tu ne manques pas d’air ! Michèle tout à l’heure et maintenant toi !
Pierre : je dirais qu’il s’agit d’arômes de fraise, voire de framboise, un rien de cerise, de la réglisse, c’est sûr, avec quelques notes fumées. La note finale est persistante et lisse. Mais il y a quelque chose en plus !

Pierre : Isabelle on recommence, je n’ai pas pu identifier un arôme !

Le repas des bénévoles sous la petite halle, vue nord.

Le repas des bénévoles sous la petite halle, vue sud.

Des visiteurs du soir, toujours appréciés, Jan Sliepenbeek et l’une de ses filles.

Fin de soirée. Jean : Volvo, c’est maintenant chinois, les camions aussi.
Jean-Marie : j’en conduis un et je sais très bien que Volvo truck est toujours suédois !

Volvo trucks, série fh.

Il ne reste plus qu’une table occupée. De qui s’agit-il donc ?

De nos amis bénévoles de la dream-team anglaise !

Encore un beau marché bouzicois qui se termine. Tout le monde s’en retourne vers ses pénates pour rejoindre les bras de Morphée.

Mais le lendemain matin, des bénévoles sont à nouveau à l’oeuvre pour tout nettoyer et ranger.

Le mercredi matin, les tables sont vides mais elles doivent être nettoyées.

Nettoyage et rangement, les maîtres-mots du mercredi matin.

Nettoyage des tables donc (dans un bel environnement et sous le soleil).

Rangement des tables, de bancs,...

des tréteaux...

des tables,...

des bancs,...

et encore des bancs !

et toujours des tréteaux !

Le tout à ranger dans la petite maison.

Pour les tables à pied, nettoyage puis rangement sous la grande halle.

Qui doit être balayée auparavant. Tant au sud...

...qu’au nord.

Les vatères doivent également scintiller de propreté.

Les poubelles doivent être vidées.

Et quand un lotto s’insère entre deux marchés, il s’agit de le préparer en montant la scène.

C’est du boulot mais il est fait dans la complicité et l’amitié et puis, quand on voit le résultat et qu’on entend les félicitations et les remerciements des convives quittant le marché, c’est le cœur content que les bénévoles de Bouzic s’activent.

Le marché de Bouzic, 9 juillet 2013.